30 novembre 1999
L?ADHÃSION DE QUATRE NOUVEAUX MEMBRES
Le 29 novembre, après des mois de collaboration internationale, lâÃchange international de la
liberté d'expression (IFEX) lançait officiellement son nouveau site web et en transférait la gestion
à lâun de ses membres, le groupe âFreedom of Expression Instituteâ (FXI) [Institut de la liberté
dâexpression], dâAfrique du Sud. Le site, est plus facile à utiliser et offre un éventail de
renseignements encore plus étendu quâauparavant; il est devenu plus accessible pour les
utilisateurs de partout dans le monde. De plus, la section Alertes Actions de lâIFEX et celle des
renseignements sur les membres sont maintenant entièrement accessibles en français et en
espagnol.
Le site web a été réaménagé pour avoir plus dâimpact et rendre toutes les ressources du site plus
facilement accessibles pour les visiteurs, dont le nombre sâaccroît sans cesse. Le menu facilite la
navigation tandis quâune meilleure infrastructure technique accélère le temps de réponse. Le
réaménagement de la section des Alertes a considérablement amélioré la capacité du visiteur
dâaccéder aux renseignements. Les personnes qui utilisent le site peuvent maintenant chercher les
alertes de lâIFEX par mot, par pays, par date, par organisation ou par type de violation. Une
nouvelle caractéristique informe en effet les visiteurs par courrier électronique de la publication
dâune mise à jour sur le cas, ce qui permet de prendre des mesures le plus rapidement possible. La
section des alertes comprend elle aussi des communiqués de presse et autres rapports.
En même remps quâil administrera le site de lâIFEX, le groupe âFreedom of Expression Instituteâ
(FXI) sâoccupera dâétendre la capacité des organisations membres de lâIFEX à participer aux
nouvelles technologies et à contribuer à en accroître la fonctionnalité. Le lancement de ce
nouveau site web nâaurait pu être réalisé sans la participation et les efforts de la Fondation Ford,
du Forum norvégien pour la liberté dâexpression (NFFE), des fournisseurs de services internet
Tc43 du Canada et RAVN de Norvège, ainsi que du groupe FXI. Voici lâadresse du site :
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Ãgalement le 29 novembre, le conseil de lâIFEX a accepté lâaddition de quatre nouveaux membres
au réseau. Il sâagit du Syndicat des journalistes dâAzerbaïdjan (TUJo), du Centre national des
Communications sociales (CENCOS) (Centro Nacional de Communicacion Social) du Mexique,
du groupe Journaliste en danger (JED) de la République démocratique du Congo, et du Centre
pour la liberté et la responsabilité des médias (CMFR), des Philippines.
Seul syndicat indépendant dâAzerbaïdjan, le Syndicat des journalistes dâAzerbaïdjan (TUJo) a été
créé en 1997. Il vise principalement à protéger les droits du travail, des droits sociaux et
économiques des travailleurs des médias, de même que leurs intérêts devant la loi. Le TUJo est
très actif dans les campagnes en faveur de la liberté des médias en Azerbaïdjan et il a mené une
campagne fructueuse qui a obtenu la libération du journaliste Fouad Kharamanli en début dâannée.
Pour de plus amples renseignements, consulter le site
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Le Centre national des Communications sociales (CENCOS) a été fondé au Mexique en 1964.
Câest un organisme civil indépendant sans but lucratif, qui sâest donné pour mission de contribuer
à la transition vers la démocratie au Mexique par la défense de la liberté dâexpression et en
donnant une voix aux secteurs les plus démunis de la société civile. Le CENCOS collabore avec
sept autres groupes du Mexique qui constituent le Réseau de protection des journalistes et des
médias du Mexique [âRed Mexicana de Proteccion a Periodistas y Medios de Comunicacionâ]. Le
réseau a publié un rapport sur les agressions contre les médias en 1998, dont il recense plus de
200 cas.
Le groupe âJournaliste en dangerâ (JED) est un organisme sans but lucratif mis sur pied en 1998
par un groupe de journalistes de la République démocratique du Congo. Il a pour mission
essentielle de défendre et de protéger la liberté de presse en RDC. JED travaille à faire sortir les
journalistes de prison, à tenir des séminaires et à produire régulièrement des rapports sur la
situation de la liberté de presse. Le groupe court de graves dangers en RDC à cause de son
travail, et compte sur le soutien international pour lâaider à protéger ses membres.
Le Centre pour la liberté et la responsabilité des médias (CMFR) se dévoue depuis sa fondation,
en 1989, à favoriser et à défendre la liberté de presse aux Philippines. Il a publié un rapport de
surveillance des médias qui recense les lacunes de la presse et les attaques quâelle subit. Depuis
presque dix ans quâil existe, le CMFR sâest aussi occupé de répondre à dâautres besoins de la
communauté journalistique, essentiellement par la formation, des conférences et des discussions
sur diverses questions. Le CMFR publie le bulletin âPhilippines Journalism Reviewâ et offre un
prix annuel pour la défense de la liberté de presse. Il a un site Ã
http://www.cmfr.com.ph/.">http://www.cmfr.com.ph/">http://www.cmfr.com.ph/.