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Le coup d'État qui a renversé le gouvernement de Guinée-Bissau a été suivi de « graves » violations de la liberté des médias, notamment de menaces contre les journalistes, d'un black-out de l'information et de la censure des médias, disent la Fondation pour les médias en Afrique de l'Ouest (Media Foundation for West Africa, MFWA), Reporters sans frontières (RSF) et Freedom House.
Faits saillants de notre réseau :
Le jour du coup d’État, les putschistes ont contraint tous les médias du pays à fermer.
Pour RSF, les injonctions du gouvernment constituent une forme d'intimidation dommageable à l'indépendance des rédactions et à la liberté de la presse.
La libre expression et la loiLa décision, prise en Conseil des ministres et rendue publique le 15 avril 2011, fait suite à la publication d'un article mettant en cause l'actuel chef d'état-major des forces armées.
Reporters sans frontières
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Fédération Internationale des Journalistes
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Fondation pour les Médias en Afrique de l’Ouest
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Union des Journalistes de l'Afrique de l'Ouest
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